L’assurance-vie est un placement populaire parmi les Français et est utile pour financer la planification à moyen terme et la retraite. L’assurance-vie offre de nombreux avantages, notamment une charge fiscale réduite, un transfert de capital sûr et la possibilité de convertir le capital en rente. Nous expliquons tout !
Quel est le concept de base de l’assurance-vie ?
L’assurance vie est un contrat d’assurance par lequel l’assureur s’engage à verser une rente au preneur ou à ses bénéficiaires en proportion des primes versées. Il peut être utilisé comme un produit d’épargne à moyen ou long terme.
À l’échéance du contrat, le preneur d’assurance ou le bénéficiaire reçoit le montant investi, plus les bénéfices et moins les frais (principalement les frais de gestion).
Après la conclusion du contrat avec le premier paiement, les paiements peuvent être effectués de manière régulière ou irrégulière et pour n’importe quel montant. Il est fiscalement plus avantageux d’accumuler des fonds pendant plus de huit ans, mais le contrat peut être résilié et retiré à tout moment.
Vous pouvez visiter ce site pour en savoir plus sur le fonctionnement des contrats d’assurance vie.
Principaux types de contrats
Les contrats conclus avec un seul transporteur sont libellés en euros.
L’épargne est investie dans des instruments sans risque, tels que des obligations d’État, et est indexée annuellement. Le capital investi est toujours garanti et le taux d’intérêt est fixe tout au long de l’année.
Il existe différents types de contrats d’investissement
Votre argent peut être investi dans des instruments sans risque ou cotés (obligations, actions, fonds, cicavs ……) placés sur le marché financier, appelés unités de compte (OPCVM) et investis en Les assureurs ne garantissent pas le prix de ces unités, qui fluctue, mais ils garantissent le montant. Ce type d’investissement est plus risqué qu’un investissement dans un fonds en euros, mais offre des rendements plus élevés.
Avantages de l’assurance-vie
L’assurance-vie présente plusieurs avantages
Il vous permet d’accumuler un capital sur une longue période. Après plusieurs années, vous avez la possibilité retirer le capital, c’est-à-dire liquider la police, rendre l’argent et percevoir des intérêts nets. Veuillez noter. Si vous investissez dans ACU, il n’y a aucune garantie que vous récupérerez toutes vos actions.
Vous pouvez également augmenter vos revenus, notamment après la retraite, en versant des cotisations régulières ou en convertissant votre capital en rente.
Enfin, l’assurance-vie est un excellent moyen de transférer le patrimoine grâce à son traitement fiscal favorable et à la liberté de choix des bénéficiaires.
Assurance-vie : comment est-elle imposée ?
À partir du 27 septembre 2017, les intérêts des contrats d’assurance vie universelle (PFU) seront imposés à un taux forfaitaire.
Un PFU forfaitaire sera versé en cas de rachat total ou partiel d’un contrat d’assurance-vie.
Si le paiement est effectué dans les 8 ans suivant le début du contrat d’assurance-vie, le taux d’intérêt fixe pour les montants jusqu’à 150 000 € est de 7,5 %.
Si ce montant est versé moins de 8 ans après la souscription du contrat d’assurance-vie, le taux forfaitaire est de 12,8 %.
Enfin, en plus de la contribution sociale généralisée (CSS), une taxe de sécurité sociale de 17,2 % est prélevée.
Quelles sont les règles fiscales applicables aux héritiers ?
En cas de décès de l’assuré, le montant versé au bénéficiaire d’une police d’assurance-vie ne fait pas partie de la succession de l’assuré.
Si le bénéficiaire est un conjoint ou un partenaire, aucun droit de succession n’est dû, même si la prestation est versée après le 70e anniversaire du bénéficiaire.
Pour les autres bénéficiaires, le type d’imposition dépend de l’âge de l’assuré au moment du paiement des primes.
– Pour les montants versés avant l’âge de 70 ans. Le taux d’imposition du capital est de 20 % par bénéficiaire après application d’une prime supplémentaire de 152 500 euros par bénéficiaire.
– Pour les montants versés après 70 ans, un taux forfaitaire de 30 500 euros est appliqué. En outre, le capital libéré est ajouté à la succession. En revanche, les intérêts capitalisés ne sont pas imposés.