La liste des problèmes à affronter n’est pas près de finir pour les entreprises. Si 2020 a été une année des plus difficiles pour tout opérateur économique, celles à venir ne seront pas de tout repos. Après la longue épreuve de confinement, synonyme d’inactivité et de perte financière, la reprise annonce la couleur : elle ne sera pas facile.
Aucun ou très peu d’investissement en perspective
La reprise tant attendue ne sera pas satisfaisante pour tout le monde. En fait, comme les activités commncent seulement à reprendre, il est utopique de reprendre là où on s’est arrêté. La consommation sera différente vus les impacts de la crise sur les consommateurs en général.
Les principaux consommateurs restent encore vigilants. Bien entendu, les gens commencent peu à peu à reprendre les anciennes habitudes de consommation. Mais il faut dire que ces dépenses estent sur le stade des impératifs. On se permet d’aller voir le coiffeur, de sortir dîner. La grande question qui reste en suspens est : « est-ce que les gens sont prêt à investir dans des achats durables comme acheter un appartement, une voiture ou des éléctroménagers ».
Pour les entreprises, la reprise ne semble pas facile. D’abord, il y a la menace du retour de la pandémie. C’est une incertitude qui force l’entrepreuneur à rester sur ses gardes. Se lancer dans une production à grande échelle est hautement risqué. Sans parler que la majorité des entreprises ont subi des pertes considérables suite à la crise sanitaire. Ces pertes vont plus loin et sont devenues des dettes pour certains.
Les services sont privilégiés
Les impacts et effets négatifs de la crise sanitaire sont plus ressentis au niveau des industries. Les industries se trouvent au premir plan des plus touchés par cette crise économique. Et malheureusement, cet handicap va s’étaler sur une durée plus longue si l’Etat n’intervient pas dans un processus de redressement. Le secteur tertiaire par contre n’est pas soumis à cette condition. Du coup, miser sur cette avantage est un atout considérable pour ce secteur.